VW Golf R ou scooter Yamaha des mers ?

Sur ce coup-là, j’avoue avoir été un grand privilégié ! J’ai pu réaliser un comparatif sensationnel – plein de sensations donc, croyez-moi – entre la nouvelle Volkswagen Golf R et un puissant WaveRunner : le Yamaha GP 1800. Alors, lequel de ces deux engins donne le plus de sensations ? Verdict !

Commençons par le commencement : la fiche technique. Et même en vous la dévoilant, le suspense concernant les sensations reste entier. Pourquoi ? Car les moteurs de la Golf R et du Yamaha GP 1800 développent tous deux, environ 300 chevaux. Bon, pour la plus puissante des Golf, soyons précis : son 2.0 TSI développe 310 chevaux, soit 10 de plus que l’ancien modèle. Du côté de notre scooter des mers, ou encore jet-ski (qui est en fait une marque déposée, le saviez-vous, moi pas !), mais que les spécialistes nomment WaveRunner, c’est un 1.8 compressé qui se cache derrière la selle. Vous imaginez un peu ? Déjà sur la nouvelle Toyota Yaris GRMN, qui pèse 1.135 kg, il parait que ça envoie ! Mais alors, qu’est-ce que ça doit donner sur l’eau, en propulsant un engin de… 359 kg seulement !?

On ralentit le rythme car vous commencez à avoir trop d’indices.

Sur la route…

La VW Golf R est bien connue pour son superbe bleu électrique, son 2.0 TSI puissant, ses quatre sorties d’échappement et ses quatre roues motrices. Cette dernière caractéristique rend cette Golf hyper saine quelles que soient les circonstances. Malgré les vitesses déraisonnables auxquelles elle vous emmène assez rapidement (0 à 100 km/h en 4,6 secondes !), je me demande vraiment s’il est possible de mettre cette voiture en tête à queue tout en restant raisonnable. Du moins, sur route ouverte, qu’il fasse sec ou mouillé. Car sur neige, évidemment, malgré sa répartition des masses très équilibrée, c’est un pur bonheur. Je vous renvoie d’ailleurs vers mon expérience vécue à bord de l’ancien modèle dans le Grand Nord : cliquez ici.

Bref, impossible de prendre son comportement en défaut ! Confortable et efficace, elle l’est ! Et sa motorisation ne manque vraiment pas de vigueur, avec une sonorité sympa comme il faut, sans se faire remarquer par ses voisins. En résumé, c’est la voiture du mec discret, raisonnable, mais qui à tout moment, peut griller bien d’autres voitures sans forcer et ainsi, en épater plus d’un !

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Pour devenir propriétaire d’une VW Golf R neuve, il faut compter 41.870 euros TVAC. ©Maxime Pasture

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Sur l’eau…

Changement d’univers : on passe de la terre ferme à l’or bleu ; on passe de la conduite et des prises de courbes sans roulis, à plat, à des virages « renversants » ! Oui, le WaveRunner, c’est vraiment une autre planète. Encore bien autre chose que la moto. Mais quel pied de naviguer en toute liberté ! Le GP 1800 permet un peu tout : de la balade à la grosse, grosse attaque. Mais vu les capacités du moteur Yamaha, il faut y aller mollo avec la petite poignée de gaz car…

…dès qu’on tire un peu trop fort sur cette poignée, on est complètement propulsé en arrière, avec une accélération à peine croyable. Un peu comme celle ressentie dans les montagnes russes ! J’avais déjà fait du jet-ski et je suis un adepte d’hyper-sportives sur quatre roues mais là, je n’imaginais même pas que de telles sensations existaient ! Et encore, je n’ai pas tiré complètement à fond sur la poignée de gaz, c’est pour vous dire ! J’ai laissé cet honneur à mon moniteur d’un jour et… voici ce que ça a donné :

Bon, ok, la comparaison est peut-être un peu… exagérée. Mais à peine en fait ! Je vous assure, derrière le pilote, je sentais mon visage se tirer dans tous les sens, malgré mon casque, à tel point que je ne voyais tout simplement plus rien devant moi ! Ou du moins, tout flou… Quelle expérience de FO-LIE ! Merci Yamaha pour créer de pareils engins.

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Côté comportement, le WaveRunner pardonne aussi beaucoup moins d’erreurs que la VW Golf R. Là, si on vire trop fort, en mettant trop de gaz, patatras, on valse à l’eau ! Idem si on croise des sillages provenant d’autres engins de navigation. Un scooter des mers, c’est beaucoup plus sensible et on doit faire preuve d’un certain équilibre, accompagné d’une concentration optimale. Quelle intensité et surtout, quel pied !

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Les tarifs du Yamaha GP 1800 débutent à 19.995 euros TVAC. 

Verdict

Même si la VW Golf R est beaucoup plus attachante que je ne l’aurais pensé sur le bitume, je ne peux que vous recommander de tester un WaveRunner Yamaha ! Vous serez enchantés !

Pour information, j’ai eu la chance de me mettre au guidon (ou à la barre, je ne maîtrise pas encore complètement les termes nautiques, vous m’excuserez) sur le Grand Large, à Mons. Mais je ne pourrais également que vous recommander les Lacs de l’Eau d’Heure. Ce superbe endroit, à Boussu-lez-Walcourt, loue des jet-skis à partir de 75 € la demi-heure et 135 € l’heure (+ assurance de 10 €/personne). Profitez-en car l’été n’est pas encore fini !

Renault Talisman: l’aboutissement?

Oui, comme son nom l’indique, la dernière berline tricorps du constructeur français est un joli petit bijou. Il fallait l’essayer pour s’en assurer !

« Il était temps que Renault fasse quelque chose ». Voilà ce que m’a affirmé un passant, en m’arrêtant pour discuter de cette Talisman. Et oui, Renault se bouge depuis que le designer Laurens van den Acker est dans la maison ! Et autant vous le dire de suite : cette nouvelle berline est sûrement le produit le plus abouti à tous niveaux : matériaux à bord, comportement et style !

Elle porte bien son nom

Le style, parlons-en… Cette Renault impressionne sur la route. Elle présente, avec sa calandre et son imposant losange, tous les nouveaux attributs stylistiques de la marque. L’arrière a également été très soigné, avec des feux qui s’étirent de l’extérieur jusqu’au centre de la malle, là où trône le losange. Plus bas, les deux « fausses » écopes d’échappement s’affichent également très proprement. Au niveau des proportions (L/l/h : 4.848, 1.869, 1.463 mm), cette Talisman semble s’attaquer directement à une valeur sûre et tout autant qualitative dans le segment : la Skoda Superb. Évidemment, les VW Passat, Opel Insignia, Mazda 6, Ford Mondeo et compagnie sont également à citer dans le lot des concurrentes… Mais aucune n’offre l’artifice proposé par Renault nommé 4Control (disponible à partir du niveau de finition Intens). On y vient.

Véritable plus-value

Ce fameux 4Control offre un comportement dynamique très différent. Comment ? En-dessous de 50 km/h (60 km/h en mode Confort et 80 km/h en mode Sport), les roues arrière tournent dans le sens opposé des roues avant. Ainsi, l’agilité de la berline n’en est que décuplée. Une fois ces seuils de vitesse franchis, les roues arrière pivotent dans le même sens que les roues de devant. Bonjour le dynamisme ! La Talisman vire alors à plat, offrant un comportement très différent de la concurrence et surtout assez grisant. Le système s’adapte également au « Multi-sense » qui permet au conducteur de choisir entre cinq modes de conduite divers : Confort, Sport, Neutre, Eco et Personnel. En plus d’influer sur le 4Control et l’amortissement piloté, la cartographie moteur, le son de ce dernier, la direction, ainsi que les couleurs de l’habitacle varient pour le plus grand plaisir de ceux qui aiment le changement au quotidien.

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Présentation intérieure de haut vol mais…

Et à l’intérieur, les plus exigeants ne seront pas déçus non plus. On est loin de la qualité inférieure d’un Captur et même un cran au-dessus de celle d’un Kadjar. Bref, c’est du tout bon pour le segment. Selon le niveau de finition, la planche de bord peut même être en partie boisée ! L’espace, lui, est royal : devant, derrière, coffre (608 l), rien à redire. Ajoutez à cela un confort de bon niveau et aucune grande carence en termes de sécurité, d’assistances à la conduite et vous comprendrez qu’il y a de quoi être séduit par cette Talisman. Du moins, si vous n’êtes pas un anti-tactile. Car, avec la grande tablette qui trône au centre de la planche de bord, vous n’aurez pas trop le choix : il faut (trop) souvent y passer pour effectuer les opérations nécessaires. A la longue, cela peut s’avérer distrayant.

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La qualité et le confort y sont mais…

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… la grande tablette n’est pas toujours des plus aisées à manipuler…

Quasiment que du 1.6 !

Le seul moteur essayé est le 1.6 TCe (essence) de 150 chevaux, en boîte automatique (EDC) à 7 rapports. Les prestations, autant de la cavalerie que de la boîte, sont dans la moyenne. Toutefois, il est intéressant de préciser que, sur papier du moins, la consommation de celui-ci (5,6 l/100 km) est identique à la version qui développe 200 chevaux et 260 Nm (+ 40 Nm). Pour vous situer, ce moteur est en fait celui de la Clio RS… L’entrée de gamme en diesel offre tout autant de couple, malgré ses 110 chevaux et sa cylindrée de 1.5 litres. Il s’agit de l’Energy dCi, mais qui se différencie des versions 1.6 déclinées en 130 et 160 chevaux bi-turbo.

VERDICT

Dans le segment, la Talisman impressionne. Et ce, grâce au confort, à l’espace à bord, à la présentation intérieure et extérieure mais surtout, avec son comportement une fois équipée de la technologie 4Control. Malheureusement, pour bénéficier d’un tel dynamisme, il faudra opter pour la finition Intens, qui monte son prix de base de 25.850 à 29.600 euros, en plus d’ajouter 1.500 euros pour l’option 4Control. Le prix de la plus-value? Oui, assurément ! Mais qui reste malgré tout intéressant sur le segment ! A bon entendeur…

Les chiffres à retenir :

1.6 Tce ; 4 cylindres turbo à injection directe d’essence ; 150 chevaux ; 220 Nm à 2.500 tr/min. ; 5,6 l/100 km ; CO2 de 127 g/km ; coffre 608 litres ; à partir de 29.850 euros TVAC

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BONUS

Talisman Grandtour

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Avec la déclinaison Grandtour, le volume de coffre, sièges rabattus, s’envole de 1.022 à 1.681 litres, pour un prix plus élevé de 1.500 euros.

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VW up ! 3 cylindres 90 chevaux : si si, des perfs de GTI !

Ok, j’avoue : ce titre est un peu racoleur mais cette petite up ! file de 0 à 100 km/h aussi vite que la première Golf GTI ! Et en V-max, elle accroche 185 km/h sans trembler ! Bref, une petite bombe sympa, accessible et bien dans l’air du temps… Essai autour du célèbre Lac de Côme.

Alors, pourquoi le Lac de Côme ? D’une part, il faut demander à VW, qui avait décidé de faire sa présentation là-bas. Mais j’ai ma petite idée : les stars qui habitent les alentours – comme Georges Clooney, what else ? – iraient bien faire leurs courses en up ! branchée non ? Du moins quand ça n’est pas en hélico’ (véridique, on a observé!). D’autre part, les alentours du Lac de Côme sont parsemés de petites ruelles dans lesquelles un VW Transporter a beaucoup plus de difficultés qu’une up ! à se faufiler… Et de ce côté, le test est réussi ! Même s’il est vrai que le rayon de braquage n’est pas encore celui d’une Smart Fortwo ou d’une Renault Twingo…

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L’air d’une grande…

Toujours proposée en 3 et 5 portes, la up ! voit sa liste de coloris et d’équipements s’enrichir. Les nouvelles jantes, pouvant aller jusqu’à 17 pouces, font leur effet. Mais en optant pour cette option, gare à la consommation. Côté confort par contre, pas de réelle dégradation (et dieu sait que je suis sensible à cela). Pour le reste, on notera la possibilité d’obtenir un volant multi-fonctions digne d’une Golf, une caméra de recul avec l’écran 5 », le ParkPilot, régulateur de vitesse, freinage d’urgence sous 30 km/h, etc. Finalement, le seul bémol est la nouvelle application VW up ! pour smartphone qui permet, notamment, d’obtenir la navigation… Sorry mais, comme souvent dans ce segment de « micro-voiture », cette app’ est à éviter si vous souhaitez arriver aisément à destination!

LA motorisation du moment

En fait, la grande surprise, au-delà d’un look encore plus premium, c’est le nouveau 1.0 TSI. J’ai récemment essayé ce nouveau trois-pattes dans une nouvelle Audi A3 et une Octavia version 2017. Dans cette gamme, la puissance est de 115 chevaux mais qu’est-ce qu’il marche bien ! L’agrément de conduite et surtout, la conso’, sont au top ! Pour la version 90 chevaux de la up !, cette dernière s’élève à 4,4 l/100 km. Certes, avec 90 chevaux, le 1.0 TSI est moins coupleux que les versions plus puissantes mais une fois passé les 1.750 tr/min., c’est un vrai régal ! La up ! devient alors la plus dynamique et la plus polyvalente jamais construite ! Bon, il faudra en payer le prix… 13.560 euros TVAC, mais avec le niveau de finition High-Up !, qui, comme vous l’aurez compris, est le plus élevé. Rappelons encore que cette petite puce des villes peut aussi s’obtenir en version eco-up ! (CNG) et E-up ! (électrique). Ce qui, au passage, est assez remarquable pour le segment… Plus traditionnellement, le 1.0 MPI (atmo’) 60 ch, qui était le plus vendu chez nous, pourra s’acquérir pour 10.280 euros TVAC.

VERDICT

Ce sera court : la nouvelle up !, c’est plus d’équipements, un look encore plus premium mais surtout, une nouvelle motorisation d’enfer, la rendant plus polyvalente et dynamique que jamais !

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Les chiffres à retenir :

1.0 TSI ; 999 cc ; 3 cylindres turbo à injection directe d’essence ; 90 chevaux entre 5.000 et 5.500 tr/min. ; 160 Nm de 1.500 à 3.500 tr/min. ; 4,4 l/100 km ; CO2 de 101 g/km ; 1.002 kg ; coffre de 251 l ; commercialisation : septembre 2016

BONUS

up ! Beats

Avec son petit gabarit et son tarif réduit (vraiment?), cette cacahuète branchée s’adresse pas mal aux jeunes ! Du coup, VW a eu la bonne idée de développer un partenariat avec la marque (tout aussi branchée) Beats. Vous savez, c’est la marque de casques audio que Dr. Dre en personne a lancée sur le marché. Dans cette finition, au look inédit (quelques détails changent à l’intérieur et l’extérieur), la sono envoie 300 watts grâce à 7 haut-parleurs.

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SsangYong Tivoli: enfin sexy!

Sexy ? Oui, au vu des premiers modèles SsangYong, j’ai osé le mot ! Car ce Tivoli est plutôt agréable à regarder et cache derrière sa robe bien d’autres qualités !

Le Tivoli a déjà soufflé sa première bougie. D’abord présenté en version essence 1.6 de 128 chevaux, puis en Diesel 1.6 de 115 chevaux, il peut également s’équiper, depuis fin 2015, de la transmission intégrale. Bref, le SUV urbain coréen a tout ce qu’il faut ! Plus récemment, il a même été décliné en version « longue » nommée XLV. On y attendait 7 places à bord mais ce n’est finalement pas le cas. Ceci est une autre histoire… Attardons-nous donc sur le Tivoli premier du nom, duquel la marque coréenne attend beaucoup !

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Depuis fin 2015, le Tivoli peut s’équiper de la transmission intégrale.

Volant et sièges chauffants ? Check !

En plus du look, agréable ou très agréable selon le niveau de finition (Crystal, Quartz ou Sapphire), grâce à des peintures bi-ton par exemple, le dernier né de SsangYong propose des équipements chatoyants comme… le volant et les sièges chauffants (et ventilés avec le cuir) à l’avant ! Ce, en plus d’un écran tactile 7 pouces d’un niveau correct, caméra de recul, régulateur de vitesse, airbag genoux et conducteur, etc. Bon, ok, ce n’est pas le nirvana mais pour une gamme de prix allant de 14.990 euros à 28.690 euros full options, boîte automatique, 4×4, ça va ! N’oublions pas non plus – surtout – les 5 ans de garantie (ou 100.000 km).

Noir, c’est noir…

Une fois installé au volant, on observe une présentation plus dans l’air du temps que les anciens modèles et les rangements ne manquent vraiment pas. Avec l’intérieur cuir et les possibilités de coloris, l’ensemble s’avère même chaleureux. Oui, sauf que la seule couleur intérieure retenue pour notre marché est le noir. Vraiment dommage… De plus, les plastiques ne sont pas les plus qualitatifs du segment mais en jetant un œil aux tarifs, c’est assez vite oublié !

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Dommage, ce superbe intérieur n’est pas pour nous! Parait-il, le Belge est assez classique dans ses choix… Ce sera donc le même, mais en noir!

Vraiment urbain

En essence, le Tivoli évolue avec un 1.6 de 128 chevaux. J’ai eu l’occasion de le tester en boîte manuelle 6 rapports et grâce aux rapports très courts, pour la ville, c’est top ! La puissance est juste suffisante pour un usage plus que polyvalent et même ludique ! Pour le dynamisme, c’est aussi vers cette motorisation qu’il faudra se tourner. Car à bord du 1.6 Diesel de 115 chevaux, très souple en bas mais un chouia bruyant, on commence à ressentir un châssis plutôt pataud une fois poussé dans ses retranchements. La direction, plutôt légère, n’aide pas non plus au dynamisme. Les modes de direction confort et sport (de série!) ne viennent malheureusement pas améliorer ce ressenti…

VERDICT

Selon les peintures et le niveau de finition choisis, le Tivoli peut s’avérer très joli ! Sur le plan esthétique, c’est sûrement l’une des premières grandes réussites (avec le Korando) de SsangYong. Il n’est certes pas le meilleur de son segment en qualité de finition et en dynamisme mais ce SUV urbain s’inscrit, avec ses motorisations, bien dans l’air du temps. Puis, surtout, son grand coffre (430 litres), ses espaces de rangement, ses tarifs attractifs et ses 5 ans de garantie devraient en séduire plus d’un…

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Mazda CX-3 : l’un des ténors dans son segment !

Mazda n’a pas manqué de développer un petit SUV urbain pour répondre à la demande d’un marché incroyablement fructueux. Et croyez-nous, les gars de Hiroshima n’ont pas du tout raté leur coup !

Le respect du style

L’âme du mouvement : voilà ce qui inspire, depuis plusieurs années, les designers Mazda. Sur chacun de leurs bébés, ce style est largement respecté. Ce qui n’empêche quelques nuances entre les différents modèles ! Le CX-3 en est l’exemple parfait car, par rapport à son grand frère (CX-5), il arbore des formes plus douces et raffinées. Il fait moins dans le « brut ». Il suffit de l’observer de profil : la ligne inférieure des vitres latérales laisse apparaître une légère vague. Sa proue s’oriente aussi davantage vers le sol, pour attaquer la route ! Bref, tout est bien étudié pour lui offrir sa propre identité et cela lui va très bien !

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Châssis au top !

Attaquer la route…. En effet, il aime ça le CX-3 ! Jamais les pneus n’ont crié malgré le rythme soutenu dans certaines courbes. Le comportement de ce SUV est tout simplement bluffant. Mazda sait vraiment y faire. Ceci s’explique notamment par une autre de leurs valeurs : l’attention au poids. Avec le 2.0 essence, comptez seulement 1.230 kg, chauffeur de 75 kg compris ! Ce qui est au top dans le segment. De plus, la direction est plus précise que dans une Mazda 2 par exemple mais aussi moins artificielle que dans un Renault Captur. Citadin, oui, mais au volant du CX-3, on communie quand même avec la route. La commande de boîte, agréable, aide aussi à cela. Du beau travail donc.

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Présentation/sécurité de bon niveau

A bord, les matériaux inspirent la sérénité. Du moins, pour le segment occupé. Les plastiques durs ne sont pas trop envahissants, grâce aux cuirs surpiqués par-ci par-là. Le système multimédia MZD Connect, accessible via molette et touches sur le tunnel central, a une identité propre et offre un rendu de connectivité (Aha, accès aux réseaux sociaux, lectures de SMS mains libres, etc.) dans la bonne moyenne. Gros point négatif par contre pour accéder aux stations de radio : la liste doit toujours être remise à jour, ce qui demande un temps de chargement avant que celle-ci n’apparaisse et donc, une attente avant de pouvoir changer de station de radio. A ma connaissance, seul le MZD Connect concède cet inconvénient ! Sur le plan sécuritaire par contre, Mazda offre sur son CX-3 tout ce dont on aurait pu rêver : affichage tête haute, alerte au franchissement de voie, surveillance des angles morts, caméra de recul, détection d’obstacle, freinage intelligent en ville, etc. Il ne manque, en fait, qu’un système de parking automatique.

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Selon le niveau de finition retenu, l’intérieur peut devenir très chaleureux! 

Encore un esprit atmo’

Une fois assis, avec une sensation d’assise un peu courte au niveau des cuisses, on peut profiter d’un moteur 2.0 essence atmosphérique qui vit sans être glouton ! Proposé en version 120 ch et 150 ch, il est dans les deux cas polyvalent. Même s’il ne faut pas en attendre trop à bas régimes – il prend son couple maximal de 204 Nm à 2.800 tr/min. – sa cylindrée le rend agréable à tous les étages. Et avec un peu d’attention, il est vraiment envisageable de s’approcher de la conso’ mixte annoncée à 5,9 l/100 km. Top ! Pour les gros rouleurs, il faudra compter sur le 1.5 Diesel de 105 chevaux. Tous sont disponibles avec une boîte auto à 6 rapports. La transmission intégrale peut aussi accompagner les 2.0 de 150 ch et la motorisation Diesel. 

VERDICT

Évoquons d’ailleurs que le CX-3 4×4 a été élu 4×4 de l’année dans notre pays, en catégorie crossover A. Ce qui justifiera encore mieux notre conclusion : ce Mazda CX-3 n’est certes pas le meilleur marché dans son segment mais sans aucun doute l’un des plus qualitatifs !

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La commande de boîte est très agréable, tout comme la molette du MZD Connect d’ailleurs!

Les chiffres à retenir:

4 cylindres en ligne à injection directe d’essence; 1.998 cm³; 120 ch à 6.000 tr/min.; 204 Nm à 2.800 tr/min.; transmission aux roues avant; boîte de vitesse manuelle 6 rapports (auto 6 rapports en option); 0 à 100 km/h: 9,0 s; V-max: 192 km/h; conso mixte: 5,9 l/100 km; CO2: 137 g/km; à partir de 17.990 euros TVAC

Infiniti Q30: Jouer l’outsider avec style!

Avec cette Q30 tant attendue, Infiniti présente son premier modèle entièrement conçu pour l’Europe. Se fera-t-elle une place parmi les ténors germaniques ? Verdict !

Depuis 2014, Infiniti n’a cessé d’augmenter ses ventes mondiales. Le continent européen n’y échappe pas mais reste le marché le plus difficile à conquérir. Avec la Q30, la donne devrait changer ! Car non seulement elle s’inscrit comme un modèle majeur pour l’Europe, mais en plus, elle sera produite dans le Vieux Continent. En Angleterre plus exactement, dans les usines flambant neuves de Sunderland. Good point ! Car les délais de livraison seront moindres par rapport à ce que nous connaissions par le passé. La seconde bonne note provient des éléments empruntés à des constructeurs qui n’ont plus d’image à bâtir dans nos contrées. La plate-forme (Classe A) et certaines motorisations proviennent de chez Mercedes (2.0 turbo essence et 2.2 Diesel). Et grâce à l’alliance Renault/Nissan – rappelons qu’Infiniti opère comme la marque luxueuse de Nissan -, les motorisations les plus frugales (1.6 turbo essence et 1.5 Diesel) proviennent de la marque au losange. Les ingrédients primaires semblent bons mais cela suffit-il pour s’attaquer à l’exigeant segment C premium ?

Des formes différentes

Sur un plan purement esthétique, c’est une incontestable réussite. Les lignes sont innovantes et les courbes, plutôt sensuelles. Rien que pour cela, la Q30 devrait trouver sa clientèle. Les proportions sont celles d’un Mercedes GLA – qui n’est pas vraiment un concurrent ! -, tout en sachant qu’une version bodybuildée QX30 suivra dans les 6 mois.

A mon sens, la QX30 se rapprochera davantage d'une Volvo V40 Cross Country que d'un GLA...

A mon sens, la QX30 se rapprochera davantage de l’esprit d’une Volvo V40 Cross Country que d’un GLA…

On se serait donc attendu à davantage de place, surtout à l’arrière, là où les grands gabarits se sentiront à l’étroit. En cause ? Les jolies courbes justement, qui entraînent une ligne de toit tombante, comme celle d’un coupé. A l’avant, les habitués Mercedes ne seront pas perdus ! Cela commence dès l’obtention de la clé de contact sur laquelle l’étoile est seulement remplacée par le sigle Infiniti. Les commodos, le volant et les compteurs ? Signé Merco’ aussi ! La différence s’observe au niveau des courbures de la planche de bord, où certains matériaux, aux coloris chaleureux, offrent une réelle identité à cette Q30. Les cuirs sont très bien finis et les sièges, hyper confortables. Dommage que des plastiques durs soient encore trop présents et qu’au final, l’ambiance intérieure ne soit pas à la hauteur des galbes extérieurs.

Coloris chaleureux au programme!

Coloris chaleureux au programme!

Contrairement à une Mercedes Classe A, l'écran central s'intègre à la planche de bord mais l'ergonomie doit être revue : il manque quelques boutons pour que le passager puisse effectuer des opérations sans gêner le conducteur !

Contrairement à une Mercedes Classe A, l’écran central s’intègre à la planche de bord mais l’ergonomie doit être revue : il manque quelques boutons pour que le passager puisse effectuer des opérations sans gêner le conducteur !

Surpiqûres mauves, volant à méplat et alcantara dans la Q30S.

Surpiqûres mauves RedBull-Infiniti F1, volant à méplat et alcantara dans la Q30S.

Le parti pris du confort

La différence se fait-elle également sur la route ? Complètement ! L’esprit de la Q30 s’oriente complètement vers le confort. A tel point qu’avec le léger 1.5 Diesel (made in Renault), la suspension pompe sur la moindre petite bosse. On aurait aimé un châssis plus ferme et plus dynamique ! Mais fort heureusement, les réglages d’amortissement sont modifiés avec les motorisations plus importantes (2.2d & 2.0t). Et ça, c’est vraiment bien vu! La direction devient aussi moins légère et ainsi, plus agréable. Mais pour un peu de dynamisme, il faudra se tourner sans hésiter vers le châssis sport, 15 mm plus près du sol et affermi de 7%. Côté chaîne de traction, les 109 chevaux du 1.5 nous ont parus un peu faiblards. A tel point que dans une côte d’un petit patelin portugais, on était à deux doigts de repasser la première ! Par contre, il est le seul à offrir une consommation correcte. Heureusement !

La technologie embarquée s'avère être l'un des points forts de cette nouvelle outsider premium !

La technologie embarquée s’avère être l’un des points forts de cette nouvelle outsider premium !

Un dernier mot s’impose sur les équipements proposés car la barre est placée haut pour le segment : mémorisation de position des sièges à l’avant, reconnaissance des panneaux routiers, caméra de parking à 360°, surveillance d’angles morts et alerte anti-collision ! Tout cela, pour un prix équivalent aux concurrents premium ! Mais bizarrement, certains de ces équipements ne sont pas dispos’ sur la version Sport… Et ça, c’est vraiment dommage !

Par ses appendices aéro, toujours classes, et sa double sortie d'échappements, la Q30S offre un look plus "masculin".

Ci-dessus, par ses appendices aéro’, toujours classes, la Q30S offre un look plus « masculin ».

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VERDICT

Oui, j’oserais dire que cette Q30 va séduire le cœur des européens. Je dirais même plus, avec ses courbes atypiques, des européennes ! Cela se confirme déjà car le premier client en France était en fait une cliente ! Et son design, c’est justement ce qui la fait sortir du lot et qui pourra poser des problèmes aux traditionnelles BWM Série 1, Mercedes Classe A, Audi A3 ou encore Volvo V40. Pour enfoncer le clou, Infiniti propose des équipements de haut vol pour le segment. Maintenant, à titre personnel, si la version normale avait les réglages d’amortissement du modèle Sport et, par conséquence, la Q30S avait un châssis encore plus dynamique, c’eût été parfait !

Les chiffres à retenir :

1.5d : 109ch, 3,9l/100km, 190km/h, 24.850 euros TVAC

2.2d AWD : 170ch, 4,7l/100km, 215km/h, 30.900 euros TVAC

1.6t : 122ch, 5,7l/100km, 200km/h, 24.750 euros TVAC

1.6t : 156ch, 5,6l/100km (à confirmer), 215km/h, 27.850 euros TVAC

2.0t S AWD : 211ch, 6,4l/100km, 230km/h, 39.540 euros TVAC

BMW 216d Gran Tourer: De surprises en surprises…

Non, le Série 2 Gran Tourer n’est pas le premier modèle bavarois à offrir 7 places. Le X5 le faisait avant lui. Mais avec ce monospace qui offre du dynamisme pour 7, BMW réveille un secteur inexploré par ses concurrents directs. Pourquoi? A quel prix? Et surtout, avec quoi sous le capot ?

Quelques mois après le lancement de sa première traction avant, la Série 2 Active Tourer, BMW en remet une couche et sort la déclinaison Gran Tourer. Plus haute, plus longue et donc, plus spacieuse pour pouvoir accueillir jusqu’à 7 personnes avec une troisième rangée de sièges en option (810 euros). Le constructeur bavarois frappe encore un grand coup car il faut aller chercher des véhicules beaucoup plus imposants chez la concurrence premium pour caser 7 occupants à bord. C’est sûr, BMW occupe maintenant tous les secteurs et ce, pour continuer sa marche triomphale sur le marché premium.

Une vraie familiale ?

Pour une fois, nous ne commençons pas notre découverte à l’avant car c’est à l’arrière que ça se passe ! Ces fameux deux sièges supplémentaires peuvent accueillir chaleureusement des personnes mesurant jusqu’à environ 1m70. L’espace aux jambes n’est pas royal mais ses occupants ont droit à un accoudoir et des porte-gobelets entre les deux sièges. Derrière eux, ils bénéficient même de prises 12V. Devant eux, la banquette offre trois vraies places et peut accueillir trois sièges bébé. Celle-ci coulisse sur 13cm et les dossiers sont réglables sur 5 positions. Sous les sièges, des tiroirs de rangement sont encore disponibles. De plus, une fois que les clés sont sur soi, le coffre peut être ouvert sans les mains, grâce à un passage du pied sous le bas de caisse. Bref, sur l’aspect pratique, le Gran Tourer ne fait pas dans la figuration !

BMW 220d xDrive Gran Tourer

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Chef de famille comblé ?

Certes, nous sommes loin de l’agilité d’une M3 ! Mais au volant, le conducteur appréciera un comportement routier de référence pour le segment. Le réglage d’amortissement est confortable et la caisse ne souffre pas trop de roulis en virage malgré la taille de l’engin. Même sur le mouillé, la tenue de route est au top! Comme souvent chez BMW, cet agrément pourra être accentué via une commande de régulation du comportement proposant les modes Eco Pro, Sport et Confort. Après essai, le mode confort s’est avéré tout à fait satisfaisant.

BMW 220d xDrive Gran Tourer

En Croatie, lors de la présentation officielle, j’avais pu tester une version 220d à quatre roues motrices qui offre des performances correctes et le comportement le plus sécurisant. Attention toutefois à ne pas freiner au dernier moment dû au poids important du véhicule (1.640 kg). Avec cette version, le bon père de famille sera comblé. S’il souhaite davantage de frissons, l’équivalent essence 220i le satisfera pleinement ! Là, les sensations routières et auditives BMW sont absolument retrouvées.

Audacieux!

Au menu des motorisations figurent aussi des trois cylindres essence (136 chevaux) et Diesel (116 chevaux). J’ai eu la curiosité de tester cette dernière configuration (216d) en Belgique. Résultat? Ce 1.5 est bluffant à plus d’un titre. Premièrement, il ne consomme rien! La conso’ mixte annonce 4,0l/100km. Ok, infaisable… Mais en utilisation autoroutière et sans se forcer, on peut aller chercher les 5,2l/100km. Mieux encore: en se déplaçant aléatoirement sur tout type de routes, il n’est pas impossible de voir les 5,5l/100km s’afficher sur votre compteur! Top au vu de la taille et du poids de l’engin! Deuxièmement, il offre un silence royal à bord! Il est quasiment inaudible de deviner qu’un tri-pattes nous tracte! Troisièmement, il s’avère assez souple à bas régimes. En effet, on aurait tendance à ne jamais monter au-dessus des 2.000 tr/min. pour changer de rapport. Evidemment, ce n’est pas un foudre de guerre et pour offrir pareilles consos, la boite 6 vitesses manuelle est très… très longue. Il faudrait aussi embarquer à 7 pour distinguer si oui ou non, le bavarois ne se transforme pas en veau avec seulement 116 chevaux. Mais croyez-moi, à deux et en étant chargé, il fait très bien son boulot.

VERDICT

Voilà un véhicule qui devrait plaire aux clients de monospace qui cherchent un véhicule d’un standing plus important. Du moins, s’ils en ont les moyens me direz-vous? Même pas! Car la version 216d, avec sellerie en tissu et le strict minimum en équipements (régulateur de vitesse, alerte anti-collision, multimédia, navigation), s’acquiert à moins de 35.000 euros TVAC! Pour une 220d xDrive, 37.800 euros TVAC (sans équipements). C’est moins qu’une rivale espagnole bien connue! Elle est donc, là aussi, la bonne nouvelle. Merci la traction!

BMW 220d xDrive Gran Tourer

L’intérieur est le même que la petite soeur Active Tourer et les rangements répondent à l’appel.

BMW 220d xDrive Gran Tourer

Audi TT : (1), 2 ou 3?

Le temps d’une après-midi ensoleillée, j’ai invité mon ami Matthieu pour un shooting, avec sa TT de seconde génération. Tout ça, pour mieux observer les changements majeurs entre la nouvelle et l’ancienne génération. Et vous, laquelle préférez-vous?

Presque 10 ans séparent ces deux générations. Le temps de faire un petit régime et de perdre jusqu'à 50 kg grâce à la nouvelle plate-forme MQB. A l'avant, il est dur de passer à côté de la nouveauté: la nouvelle calandre trapézoïdale chère à la marque repousse, ici, les quatre anneaux sur le capot. Les feux à LED sont relativement plus discrets. *PHOTOS : © D.L.*

Presque 10 ans séparent ces deux générations. Le temps de faire un petit régime et de perdre jusqu’à 50 kg grâce à la nouvelle plate-forme MQB. A l’avant, il est dur de passer à côté de la nouveauté: la nouvelle calandre trapézoïdale chère à la marque repousse, ici, les quatre anneaux sur le capot. Les feux à LED sont plus petits, plus discrets, mais mieux mis en valeur. Qu’en pensez-vous? © D.L.

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© D.L.

Ici, nos petites copines du jour étaient toutes deux mazoutées: 2.0 TDI de 170 ch, poussé à 184 ch pour la plus récente.

Ici, nos petites copines du jour étaient toutes deux mazoutées: 2.0 TDI de 170 ch, poussé à 184 ch pour la plus récente et plus économe des motorisations, baptisée Ultra. © D.L.

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© D.L.

La TT troisième du nom a succombé au charme de sa grand-mère. Oui, car les échappements ont repris la même position, marquant davantage de sportivité. Par contre, comme sa maman, elle détient l'aileron amovible. Juste en dessous, un troisième feu stop s'étend de tout son long entre les deux phares. © D.L.

La TT troisième du nom a succombé au charme de sa grand-mère. Oui, car les échappements ont repris la même position, affirmant davantage sa sportivité. Par contre, comme sa maman, elle détient l’aileron amovible. Juste en dessous, un troisième feu stop s’étend de tout son long entre les deux phares. © D.L.

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© D.L.

Le bouleversement, il se cache à l'intérieur. C'est une véritable révolution dans le secteur. Disparu, l'écran central! Tout se situe sur le tableau de bord. Certes moins convivial pour - le plus souvent - la passagère, le système est très facile à prendre en main pour son conducteur.

Le bouleversement, il se cache à l’intérieur. C’est une véritable révolution dans le secteur. Disparu, l’écran central! Tout se situe sur le tableau de bord. Certes moins convivial pour – le plus souvent – la passagère, le système est très facile à prendre en main pour son conducteur. Les commandes de climatisation se retrouvent directement sur les ouïes d’aération… Vous avez dit gain de boutons?

Virtual Cockpit    Verbrauchsangaben Audi TT Roadster:Kraftstoffverbrauch kombiniert in l/100 km: 7,5 - 4,3;CO2-Emission kombiniert in g/km: 174 - 114    Verbrauchsangaben Audi TTS Roadster:Kraftstoffverbrauch kombiniert in l/100 km: 7,5 - 6,9;CO2-Emission kombiniert in g/km: 174 - 159

Tout se passe de manière très intuitive sur le volant! Le conducteur peut également donner priorité, au choix, à la navigation ou aux compteurs.

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© M.P.

Un détail, mais qui pour moi, fait toute la différence: même les commodo ont une forme particulière. C'est sûr, l'intérieur de la dernière TT en date, c'est un univers hors du commun! © D.L.

Un détail, mais qui pour moi, fait toute la différence: même les commodo ont une forme particulière. C’est sûr, l’intérieur de la dernière TT en date, c’est un univers hors du commun! © D.L.

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© D.L.

Audi TT1

Enfin, ça, c’était la première génération, sortie en 1998… Alors, laquelle préférez-vous?

Les chiffres à retenir : 

2.0 TDI Ultra ; 1.968 cc ; 184 chevaux ; 380 Nm entre 1.750 et 3.250 tr/min. ; 0 à 100 km/h en 7,1 sec. ; 240 km/h en pointe ; 4,2 l/100 km ; 110 g CO2/km ; àpd 38.900 euros TVAC

Autres motorisations Audi TT 2015

2.0 TFSI (quattro) ; 230 chevaux ; 137 g CO2/km (149 g CO2/km) ; àpd 38.900 euros TVAC

2.0 TFSI ; 310 chevaux ; 157 g CO2/km ; àpd 51.160 euros TVAC

La TTS est bien plus sportive. Son moteur se retrouve d'ailleurs dans la version de course, la TT Cup. Ce n'est pas pour rien... Sa sonorité, surtout aux changements de rapports avec la S-Tronic, est aussi, très envoûtante...

La TTS est bien plus sportive. Son moteur se retrouve d’ailleurs dans la version de course, la TT Cup. Ce n’est pas pour rien… Sa sonorité, surtout aux changements de rapports avec la S-Tronic, est aussi, très envoûtante…

Audi Sport TT CUP, Tracktest Barcelona